Tiens, c’est marrant, ce n’est que maintenant que je remarque que la marque Arianat écrit “shampoing” au lieu de “shampooing” sur ses packagings ! Après vérification sur Wikipedia (dont je vous conseille la lecture de l’article car on y apprend beaucoup de chose sur l’origine du mot mais aussi sur l’origine du produit en tant que tel), les deux écritures sont acceptées. Vous utilisez laquelle, vous ?
Mais revenons à nos cheveux mousseux de moutons. Aujourd’hui, j’ai envie de vous parler d’un shampooing que j’ai utilisé jusqu’à très récemment, jusqu’à ce que mes cheveux deviennent vraiment TROP gras (d’origine hormonale) pour pouvoir supporter un shampooing non-spécifique : le shampooing vitaminé de Arianat.
Ce shampooing vitaminé certifié bio avait tout pour me plaire, alors. En plus d’être bio, sa composition ne contenait ni SLS (sodium laureth sulfate, agressant le cuit chevelu et étant souvent à l’origine de démangeaisons, pellicules ou surproduction de sébum) ni silicones (étouffe le cheveux au niveau des racines, entraînant alors lui aussi une surproduction de sébum + enveloppe tellement bien les longueurs qu’elles deviennent imperméables, au bon comme au mauvais). A l’époque, mes cheveux ne graissaient pas trop mais j’évitais ce qui pouvait les faire graisser car une surproduction de sébum entraîne à terme des chutes de cheveux abondantes, un des fléaux contre lequel je me bats encore aujourd’hui.
Vendu 15,20 euros les 200mL sur la boutique en ligne de son distributeur Âme et Sens (basé dans une ville que j’adore : Quimperlé dans le Finistère), cela fait cher le shampoo, certes, mais quand on sait combien il est difficile de trouver un produit sans silicones et surtout sans SLS, cela compense, en quelque sorte.
Un dernier mot sur la composition : plus de 99% d’ingrédients naturels, plus de 11% de bio, et les actifs principaux sont la glycérine, des extraits d’agrumes, du miel, de la propolis (tiens, je croyais que c’était masculin),…
Le flacon de ce shampooing est très bien pensé : il a un bouchon qui coulisse et s’ouvre à peine, ce qui suffit à récupérer assez de produit pour un shampooing, mais évite le gaspillage. On peut carrément enlever le bouchon pour finir ce produit jusqu’à la dernière goutte (vous connaissez sûrement la technique du “il reste un fond, je mets de l’eau, j’agite et je répartis sur mes cheveux”).
Ce shampooing Vitaminé est assez liquide, a une couleur ambrée transparente et surtout une odeur hespéridée du tonnerre. J’avoue ne pas avoir trouvé mes cheveux particulièrement “vitaminés” après utilisation, même si l’odeur de ce shampoo est telle qu’elle me vivifiait l’esprit et me réveillait le matin !
Si mes cheveux n’étaient pas particulièrement vitaminés, j’avoue que j’étais satisfaite : ils étaient propres, se rinçaient facilement et ne glissaient pas (merci l’absence de silicones)… et ne graissaient pas vite.
Ce shampooing m’a duré longtemps, grâce à son bouchon économique. Aussi, malgré son prix initial, je trouve qu’il est assez économique en tant qu’investissement, en prenant en compte sa longue durée de vie, ses valeurs et son efficacité. Je vous le recommande donc.
La note de l’addicte :
(A noter que mon frère a, quant à lui, testé le shampooing anti-pelliculaire de la marque et qu’il ne l’a pas trouvé assez efficace sur ses pellicules sèches : peut-être parce qu’il contient du SLS en deuxième position… Le fait qu’il ait fini ce flacon signifie quand même beaucoup pour lui : même si son odeur boisée et aromatique ne lui plaisait pas particulièrement, il l’a trouvé facile à utiliser et à rincer, et a apprécié que ses cheveux ne regraissent pas vite.)
Et vous, vous avez banni des ingrédients de vos produits capillaires ?
Retrouvez les shampooings Arianat, et notamment le Vitaminé et l’Anti-Pelliculaire, en vente sur le site Âme et Sens.
Merci à Laurence pour ce test.
Hello!
Je ne connaissais pas du tout cette marque ! j’essaie de faire attention à la composition des shampooings (avec 2 “o”) que j’utilisent car j’ai le cuir chevelu réactif. J’évite Kérastase qui me file la gratouille notamment et je fuis comme la peste tous les Elsève qui peuvent exister!
J’ai également banni les silicones qui ont tendance à alourdir mes cheveux fins. J’ai du mal à trouver mon bonheur capillairement parlant et j’aime encore bien changer.
coucou, oui depuis l’été dernier, plus de sls, et jamais de silicones … pour les shampoings sans SLS, je me fournis dans ma biocoop, les marques comme Cosmo Naturel, Logona, sont tout naturel et sans SLS ou autre cochonneries, et moins cher(le cosmo je le paie 13 euros le litre !). Cette marque je la connais, pourtant pas tres loin de cette region, elle n’a pas l’air d’etre distribué en magasin, ou alors j’ai aps fait attention. merci de cette revue 🙂
Moi j’écris shampoing avec un seul O sinon j’écris shampoo .
Sinon comme ton frère j’ai des pellicules sèches alors du coup ce shampooing ne me donne pas envie.
HA oui sur les pellicules sèches le premier geste c’est d’éviter les sulfates! Ton frère pourrait essayer le Vichy anti-pelliculaire sans sulfates, gros succès sur mon paternel 😉
Bonsoir, Oui j’écris shampoing avec un seul “o” même si certains professionnels de la coiffure pensent qu’il y a une faute ! Belle analyse, Bravo. Attention toute fois a bien utilser les shampoings adaptés à son type de cheveu… Sinon le résultat n’est pas au rendez-vous. A bientôt Laurence et merci
cosmo se vend au litre, avec flacon pompe, mais aussi en petite contenance, c’est vrai que je suis comme toi, je prefere les petites contenances (mais là cest le shampoing pour usage frequent, meme les enfants l’utilise du coup 🙂 )