La vie est pleine de mystères. L’un d’entre eux est de savoir pourquoi diable je ne possède qu’un seul parfum Nina Ricci – alors que j’adore leurs odeurs, et que j’accroche carrément à l’univers de leurs campagnes publicitaires. Eléments de réponse…
L’un des premiers parfums Nina Ricci qui m’ait été donné de sentir est L’Air du Temps, un parfum créé en 1948, mais qui a su rester moderne des décennies plus tard. Dans les années 90, ce jus me plaisait beaucoup, mais il était trop commun – je le sentais au cou de toutes mes copines. J’ai donc passé mon tour…
Les années passent, et sont revisitées d’autres fragrances cultes de la marque (comme Mademoiselle Ricci), en parallèle de la création de nouveaux sillages comme celui de Ricci Ricci ou Love in Paris. Dernièrement, c’est Nina, le flacon à la pomme, qui est décliné sous tous ses formes, avec notamment La Tentation de Nina, Pretty Nina, Les délices de Nina… A chaque fois, c’est un franc succès, ces parfums sentent divinement bons et se vendent comme des petits pains. A mon grand dam car, 20 ans plus tard, je suis toujours à la recherche d’un parfum qui ne soit pas porté par toutes les filles de mon âge. Je me suis donc “contentée” de l’Extase de la marque, moins populaire car trop sexy pour beaucoup…
Mais 27 ans est l’âge de raison. J’en ai marre d’attendre un parfum “rare”, pour la raison futile que je veux me sentir unique, que je ne veux pas passer inaperçue. J’assume maintenant mon statut de mouton. J’ai des goûts communs : le parfum Nina sera donc, en version Elixir, au pied de mon sapin…
Article sponsorisé