C’est samedi, c’est le jour de ma chronique hebdomadaire ! Sans plus attendre, je vous propose de découvrir mon avis sur le tome 2 des Fausses Bonnes Questions de Lemony Snicket.
Quatrième de couverture :
Avant de vous aventurer dans “When did you see her last?”, posez-vous ces questions : 1- Est-ce que quelqu’un a vu la disparue ? 2- Pourquoi ses parents ne sont-ils pas contrariés ? Ils ont plutôt l’air désorienté. 3- Qu’ont à voir une expérience de chimie, une épicerie, des cheveux indisciplinés et une statue volée ? 4- Maintenant c’est moi qui suit désorienté. Pourquoi changez-vous le sujet ? Vous êtes supposés réfléchir à propos de la disparue. Où est-elle ?
Mon avis :
Je n’avais pas été impressionnée par le premier tome de la saga Les fausses bonnes questions de Lemony Snicket. Aussi, quand j’ai reçu “en envoi sauvage” le tome 2 de ladite série, je l’ai laissé traîner dans un coin, et ce, pendant de longs mois. J’aurais très bien pu ne jamais l’ouvrir, mais j’avais envie de “déPALer” un peu ma collection de bouquins et j’étais curieuse de savoir si, en partant avec un a priori négatif, on pouvait quand même trouver du plaisir dans cette lecture… Alors je me suis installée dans mon lit, une tasse de thé à portée de main, et je me suis mis à l’ouvrage.
J’ai ainsi pu découvrir que ce second tome est la suite logique du premier – tant en terme d’histoire, que de construction, d’atmosphère… Ici encore, l’histoire est tirée par les cheveux, alambiquée, abstraite et absurde au possible. On en perd sa route et son latin, on espère juste arriver enfin sain et sauf à la fin du chapitre, puis à la fin du livre, pour pouvoir reprendre une vie de lecteur classique. A la base, j’aime bien les mystères, mais ici j’ai eu l’impression de jouer à une partie de Super Cluedo en langue chinoise, avec des règles qui s’inversent toutes les x minutes, sans que je ne connaisse ce fameux x. Alors, évidemment, j’ai fini par me ficher totalement de savoir qui a tué Mr Lenoir, dans quelle pièce et avec quel objet. J’ai complètement laché l’affaire, et, fait rare, j’ai stoppé ma lecture avant de finir le livre, en me jurant de ne plus jamais l’ouvrir.
C’est dommage, l’auteur a une plume vraiment intéressante, presque intriguante, mais ses bons mots ne sont pas suffisants pour me tenir en haleine.
La note de l’addicte : 
Et vous, vous aimez les livres aux histoires alambiquées ?
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