Cela fait un an que je n’ai pas chroniqué de romans imaginaires, suis-je malade ? Si j’ai diminué mon rythme de lecture en général (pas par choix…) et mon rythme de lectures imaginaires en particulier (sans trop m’en rendre compte), cela ne veut pas dire pour autant que je ne suis plus fan de ce genre de livres. Au contraire !
Alors je vous propose de découvrir mon avis sur le tome 3 de la saga Never Sky : Always Blue, de Veronica Rossi. Ce roman est dispo à la vente au prix de 16,90 euros pour plus de 300 pages en grand format, aux éditions Nathan Jeunesse. Bonne lecture !
Quatrième de couverture :
Alors que le domaine de Rêverie s’est effondré, Sédentaires et Sauvages tentent tant bien que mal de cohabiter dans les grottes où ils se sont réfugiés. Mais les ressources s’épuisent et le départ devient inéluctable, même si les tempêtes font rage au dehors. S’ils veulent survivre, il leur faut rejoindre le Calme Bleu, un lieu encore épargné par les ravages de l’Ether. Pour cela, Perry et Aria, plus unis que jamais, doivent délivrer Cinder, un mystérieux garçon qui peut contrôler l’Ether. Il est retenu prisonnier par Sable, le cruel chef de la tribu des Cornans…
Mon avis :
J’attendais impatiemment la sortie du troisième et dernier tome de la saga Never Sky de Veronica Rossi. Mais, bizarrement, autant j’ai dévoré ce livre en moins de deux… autant il ne me tardait pas de vous en parler. Alors me voici, quelques mois plus tard, bien installée sur mon bureau, avec une tasse de thé bien chaud et quelques gingerbread men, histoire de me motiver à vous en toucher deux mots.
Never Sky, que l’on appelle aussi la Série de l’impossible, nous avait laissé en pleine débâcle dans son tome 2. Quelques survivants de Rêverie revenaient en compagnie d’Aria en terres sauvages. Alors que ces derniers devaient déjà s’habituer à vivre dans une grotte avec peu de vivres, voilà qu’ils devaient aussi se coltiner des Sédentaires, qu’ils ne comprenaient pas ! Bref, la situation était difficilement tenable sur le long terme, Aria, Perry et leurs amis devaient trouver un moyen de rejoindre le Calme Bleu pour échapper à l’Ether et espérer survivre sur Terre, et à l’air libre.
On peut dire qu’il s’en passe des choses, dans ce dernier tome de la saga ! A tel point qu’arrivée aux 20 dernières pages, je me demandais comment on résoudrait la situation en si peu de temps. C’est un peu dommage, d’ailleurs, car la fin semble, pour le coup, un peu bâclée comparée au reste de la saga, surtout quand on se rappelle les passages plus lents des tomes précédents, qui nous permettaient de découvrir l’atmosphère pensante de ce monde. Néanmoins, on nous offre ici une vraie fin, même si elle n’a rien d’un happy end selon moi (c’est d’un côté une bonne chose, cela augmente le lot de surprises… mais j’ai passé tout le livre à espérer pour rien une certaine chose… ! ).
J’ai pas mal versé de larmes, en lisant ce roman. J’ai aussi souri par moments, été surprises aàde nombreuses reprises (surtout vis-à-vis d’un détail qui ne m’avait pas du tout interpellée, je ne m’y attendais pas ! )… Bref, j’ai passé un bon moment en compagnie de ses amis que tout oppose : Perry, Aria, Roar, Marron, Cinder, Soren… mais je regrette un peu le rythme décousu de ce roman, qui donne une impression de “finissons vite, qu’importe la qualité…”.
Et vous, vous avez déjà ressenti cette sensation de bâclage en lisant un livre ou une saga ?
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