Je vous retrouve en ce jour d’ouverture de l’Euro 2016 avec une chronique littéraire blanche. Non, je ne parle pas de la fameuse littérature blanche, seulement de La Fille de Papier de Guillaume Musso, et de sa couverture blanche qui va avec mon obsession actuelle du bleu-blanc-rouge ! Bonne lecture et allez les Bleus !
Quatrième de couverture :
Quand la vie ne tient plus qu’à un livre !
« Trempée jusqu’aux os et totalement nue, elle est apparue sur ma terrasse au beau milieu d’une nuit d’orage.
– D’où sortez-vous ?
– Je suis tombée.
– Tombée d’où ?
– Tombée de votre livre. Tombée de votre histoire, quoi ! »
Tom Boyd, un écrivain célèbre en panne d’inspiration, voit surgir dans sa vie l’héroïne de ses romans. Elle est jolie, elle est désespérée, elle va mourir s’il s’arrête d’écrire. Impossible ? Et pourtant !
Ensemble, Tom et Billie vont vivre une aventure extraordinaire où la réalité et la fiction s’entremêlent et se bousculent dans un jeu séduisant et mortel…
Mon avis :
Il y a une dizaine d’années, je me précipitais à chaque parution de mon trio d’auteurs français préférés : Marc Levy, Guillaume Musso et Bernard Werber. Leurs romans, je les dévorais avidement. Ils étaient des guilty pleasures parfaits pour me distraire et me faire oublier mon quotidien, mes études…
Depuis quelques années, j’ai tendance à sélectionner mes plaisirs coupables aux rayons jeunesse, young adult ou romance. Peu à peu, j’ai appris à garder mes Levy, Musso et Werber pour des occasions particulières, je les laisse de côté pour les déguster à un moment particulier de ma vie. Parce que lire ces auteurs, c’est embrasser mon passé, en quelque sorte.
Justement, le Guillaume Musso dont je veux vous parler aujourd’hui, La fille de papier, est un roman que j’ai lu en emménageant dans ma nouvelle résidence en Angleterre. Après 5 mois à vivre dans la maison de mon enfance, j’avais envie de me sentir vite fait chez moi… ailleurs. Bien installée dans mon nouveau lit, je voulais oublier le stress du retour au boulot, des retrouvailles avec mon chef aux attentes irréalistes.
Autant le dire tout de suite : La fille de papier a bien rempli son job. Tout de suite, j’ai retrouvé avec plaisir la plume et l’univers de Musso, son talent pour créer une histoire fantastique originale qui, tout d’un coup, révèle un twist incroyable. Je me suis vite sentie en confiance chez moi, j’ai vite oublié mes craintes quant au retour de mon quotidien trépidant.
Je n’ai pas envie de trop vous en dire sur le contenu de ce livre… Je veux juste vous dire que ce n’est pas mon préféré de l’auteur, malgré des touches d’humour subtiles tout au long de ma lecture. Je le précise car j’avais lu plusieurs fois que c’était l’un de ses meilleurs ouvrages… Il est certes très bon, mais il ne détrône pas mon favori (Seras-tu là ? ).
Et vous, vous aimeriez que les perosnnages de vos romans preférés prennent vie ?
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2 réflexions sur « Livre de l’imaginaire # 61 : La fille de papier – Guillaume Musso »