Pour cette première chronique de l’année 2018, parlons d’un livre que j’ai découvert sous le format Audible : l’abonnement “livres audio” de Amazon. J’ai profité d’une offre découverte pour tester Demain les chats de Bernard Werber, l’un de mes auteurs préférés, lu par Christine Braconnier. Bonne découverte !
Quatrième de couverture :
Pythagore, chat de laboratoire appareillé pour se connecter avec les ordinateurs enseigne à Bastet, jeune chatte Montmartroise, à communiquer avec les humains pour tenter de leur faire prendre conscience de la violence de leur société.
Mon avis :
C’est ma première chronique de l’année donc je vous souhaite un excellent cru 2018 ! Qu’il vous enivre de bonheur, qu’il vous noie dans la chance, qu’il vous permettre de profiter de bons moments en famille et entre amis !
Ceci étant dit, je suis venue ici vous parler de Demain les chats, le roman de Bernard Werber, que j’ai écouté l’an dernier en format Audible. Je vais le préciser tout de suite car cela a influé grandement sur ma lecture et mon ressenti à son égard : j’ai écouté Demain les chats tout d’abord lors de ma dernière hospitalisation, et j’avoue que vu le thème des chats du roman (comme d’hab’, je n’avais pas lu le résumé ! ), je m’attendais à une histoire bien plus relaxante… Résultat : l’ambiance quasi-apocalyptique de ce roman titre a empiré mon stress et j’ai dû l’abandonner en cours de route, pour le finir quelques mois plus tard. C’est dommage, j’avais justement choisi le format audiobook pour l’écouter à l’hôpital !
Ceci étant dit, c’est un bon livre que voilà, et j’ai apprécié la voix de Christine Braconnier qui donne vie aux personnages et notamment aux chats. On suit toute l’histoire avec les yeux de Bastet et j’ai vraiment aimé ça, même si parfois c’était vraiment cru et glauque. Bernard Werber est un ami des chats mais n’a pas souhaité (et je l’en remercie) les humaniser, juste leur donner une voix et un destin hors du commun.
Vous apprécierez forcément cette histoire, et son rythme relevé, si vous aimez déjà le style de l’auteur, mais je vous préviens encore une fois : c’est assez sombre malgré quelques détails ici et là qui nous font rire ou sourire. Même s’il y avait des morts ça-et-là dans ses autres romans, ici, je n’exagère pas quand je parle d’atmosphère apocalyptique…
Et vous, vous pensiez qu’un livre qui met en avant les chats puisse être… quasi-traumatisant ?
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