Je regarde le numéro de cette chronique littéraire, la quarantième en terme de chick lit, et je me dis “wahou, seulement 40 ? “. Il faut dire, depuis que je connais les romans de Sophie Kinsella, les autres livres du genre me semblent bien ternes… sauf quand il s’agit de romances émoustillantes pour femmes, comme celle dont on va parler aujourd’hui ! 🙂
Aujourd’hui, nous allons justement reparler de la saga Noblesse Oblige, dont voici le quatrième tome : Le gentleman mis à nu. De près de 500 pages, il est vendu au prix de 7,90 euros par Milady Romance. Bonne lecture !
Quatrième de couverture :
Il est temps pour Miss Margaret Peterson de se marier, et elle décide de trouver un époux qui partage sa passion pour l’horticulture. Malheureusement, le premier individu qui répond à ce critère entraîne la jeune femme dans un jardin pour s’y comporter comme un rustre. John Parker-Roth est un gentleman, un vrai, et il vole au secours de Meg. Lui-même ne vit que pour les plantes et les fleurs et cette jeune femme fraîche comme une rose saura peut-être l’émouvoir.
Mon avis :
Cela faisait longtemps que je n’avais pas chroniqué une romance Milady ici, non ? (Après vérification, non : ma dernière chronique de Lucky Harbor est parue en juin, ce n’est pas si vieux que ça ! ) En tout cas, c’est sûr que l’on n’avait pas parlé de Noblesse Oblige depuis longtemps, car ma chronique du tome 3 remonte à octobre 2012. Entre-temps j’ai acheté ce quatrième tome et j’ai pris mon temps avant de le lire, car son nombre de pages étant imposant (plus de 500 pages), je souhaitais le dédier à ma valise de road-trip anglais ! J’ai dégusté ce roman, finalement, quand j’étais à Bath, ce qui tombe plutôt bien dans la mesure où Sally MacKenzie est, on va dire, un mix entre EL James et… Jane Austen, qui a vécu à Bath ! D’ailleurs, il me semble bien l’avoir fini quand j’étais au salon de thé du Jane Austen Centre…
Comme les trois volets précédents, j’ai dévoré ce quatrième tome de la saga Noblesse Oblige en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, malgré ses 500 pages. J’ai apprécié comme d’habitude son format poche très pratique à emporter avec soi, partout et nulle part tout à la fois, ainsi que l’écriture claire et agréable de Sally et de son traducteur : on a donc là tous les ingrédients pour passer un très bon moment de lecture.
Et un très bon moment de lecture j’ai passé, vu que les ingrédients qui font le succès des trois premiers tomes de Noblesse Oblige sont réunis encore une fois ici, et mixés avec soin, ce qui donne un roman à la fois sexy, drôle et tendre.
Nous avions déjà rencontré les deux héros du “Gentleman mis à nu” précédemment, et nous avions tout de suite compris qu’ils étaient faits l’un pour l’autre de part leur passion commune pour l’orticulture. Apparemment, ils ont moins de jugeotte que nous car, entre-temps, ils se sont perdus de vue et Meg s’est délurée (cela fait plaisir de voir que les jeunes filles ne se morfondent pas dans leur coin ! ) tandis que John souhaite trouver l’amour… mais n’arrive pas à comprendre que toutes les femmes ne courrent pas après un titre… qu’il n’a pas. Vous l’aurez compris, le destin va les rapprocher, les quiproquos vont continuer… et le plaisir on va trouver !
Si la fin de ce roman est assez prévisible, ces rebondissements peuvent surprendre. Du fait de leur rythme, j’ai eu beaucoup de mal à lâcher mon roman, surtout quand nos précédents héros
pointaient le bout de leur nez pour s’immiscer dans les affaires (pas si) privées de Meg…
Que demander de plus pour se détendre ? Je vous invite donc, à nouveau, à découvrir (si ce n’est pas déjà fait) la saga Noblesse Oblige… !
La note de l’addicte :
Et vous, vous aimez les situations où les quiproquos s’enchaînent ?
Cliquez pour retrouver ce roman en vente : Le Gentleman mis à nu