Une fois n’est pas coutume, non seulement je chronique un livre quelques heures aussi après l’avoir fini… mais aussi quelques heures seulement vous avoir parlé du premier tome ! En effet, j’ai dévoré “Corsets et complots” de Gail Carriger, le tome 2 du “Pensionnat de Melle Géraldine”, qui m’a été envoyé par Babelio jusqu’à bien tard la nuit dernière !
Quatrième de couverture :
A-t-on vraiment besoin de quatre digitales pour décorer une table pour six personnes ? Ou bien est-ce six digitales pour tuer quatre invités ? La première année d’école de Sophronia a certainement été enthousiasmante. D’abord, son pensionnat pour jeunes dames de qualité l’entraîne à devenir espionne (Maman sera si surprise !). Ensuite, elle est mêlée à une intrigue à propos d’un appareil volé et on lui jette une tourte au fromage dessus. Aujourd’hui, Sophronia connaît chaque recoin de l’école, laisse traîner son oreille dans les quartiers des enseignants et monte clandestinement à la chaufferie du dirigeable où elle apprend qu’un simple voyage scolaire à Londres peut cacher davantage que ce qu’elle croit… Vampires, loups-garous et humains sont tous après le prototype récupéré par Sophronia dans Étiquette & Espionnage, qui a le potentiel d’améliorer le transport aérien surnaturel. Sophronia doit découvrir qui est derrière un dangereux complot pour contrôler le prototype… et survivre à la saison de Londres munie d’un carnet de bal complet.
Mon avis :
Ayant adoré “Etiquette et espionnage“, je ne doutais pas que j’allais tout autant aimer “Corsets et complots”, sa suite logique ! Son histoire se passe quelques semaines après les événements du premier tome, et on peut dire que tout commence sur des chapeaux de roue !
Sophronia est appelée pour un examen portant sur ses six premiers mois au pensionnat… et voilà que le dirigeable dans laquelle elle se trouve se dirige vers Londres, et accueille à son bord des garcons ! Pourquoi ? N’est-ce pas risqué ? Des tas de questions se mettent à bouillir dans sa cervelle… On peut compter sur elle pour en trouver les réponses !
J’ai retrouvé avec joie les personnages de cette saga, Sophronia, Vieve, Dimitri, Savon,… Je trouve qu’ils ont pris plus de maturité dans ce tome, on les a mieux développé, pour mon plus grand plaisir !
Il faut dire, il s’en passe des choses au pensionnat, de quoi faire vite grandir ses pensionnaires ! Inutile de dire que je ne me doutais absolument pas de l’épilogue, on a quelques pièces du puzzle par-ci, d’autres par-là et il est encore une fois impossible de les agencer de manière à deviner à l’avance ce qu’il va se passer ! Pourtant, c’est logique… mais c’est aussi assez tordu et bien développé. Je suis toujours sur les fesses face à l’ingéniosité de Sophronia pour éclaircir les mystères, elle mérite bien sa place d’espionne en herbe ! Pourtant, on sent aussi que ce n’est pas trop évident pour elle, n’est pas Hercule Poirot qui veut ! Tant mieux, je m’en sens moins bête !
Au final, ce livre m’a tenue en haleine et m’a permis de passer un super bon moment dans son atmosphère steampunk très bien décrite. J’aime ce mélange de classe aristocratique et de coups bas, les clins d’oeil au Protectorat de l’ombrelle aussi… N’hésitez pas à découvrir cette saga si ce n’est pas déja fait !
Et vous, vous aimeriez être une espionne au service de … mais qui déjà ??? 😀
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