Le Ciné club (créé par Smells Like Rock et découvert chez Tequi) est de retour sur le blog, youhou ! C’est censé être mon RDV “mensuel” pour vous parler des films que j’ai pu voir, et, aujourd’hui, pour son retour, j’ai envie de vous parler de Grease Live, Into the woods et Spectre.
On commence avec Grease Live sur lequel je suis tombée par hasard à la télévision. C’est un remake de Grease, sous la forme d’un téléfilm diffusé en live aux Etats-Unis, en janvier.
J’aime beaucoup les diffusions live de fiction (avec les challenges que cela implique : changements de décors, de fringues…), et, comme dans la série Undateables, ici, cela ajoute du piquant à l’histoire, on en ressort encore plus bluffés par la performance.
L’histoire, je l’adorais déjà, et elle est reproduite disons à 90%. Chapeau aux acteurs/chanteurs, c’était pour moi un grand moment de télévision et, clairement, si cela avait été diffusé sans etre en live, je n’aurais pas autant apprécié.
On reste dans la thématique musicale avec Into the woods, une comédie musicale de Disney qui mélange Cendrillon, le Petit Chaperon Rouge, Jack (et son haricot magique), Raiponce… Avec un casting à tomber : Meryl Streep, Emily Blunt, Anna Kendrick, Chris Pine, Johnny Deep… qui poussent la chansonnette.
J’ai un sentiment mitigé, mais positif, sur ce film. Esthétiquement, c’était vraiment réussi, et musicalement j’ai été agréablement surprise (pas au point de télécharger les chansons, mais presque).
Seulement l’histoire est… particulière. Vers le milieu du film, on dirait que c’est fini (Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants…) puis un rebondissement intervient et tout reprend. Pourquoi pas, mais j’ai trouvé que l’on perdait du rythme au passage… et, au final, je regardai régulièrement où on en était par rapport à la fin du film…
On termine avec Spectre, le dernier James Bond. Je l’attendais impatiemment, mais, bizarrement, j’ai mis du temps à le voir une fois que je me le suis procuré. J’avais sûrement peur d’être déçue, ayant a-do-ré Skyfall (que j’ai vu 4 fois à ce jour…).
Alors, franchement, c’est un bon James Bond, avec beaucoup de scènes d’action, de rebondissements, de belles scènes (notamment l’intro filmée avec un drône en un seul plan – si je ne m’abuse)… Mais on est loin de Skyfall. Pourquoi ?
Parce que son “grand” méchant est moins charismatique que le précédent, parce que ce film se veut trop romantique pour un James Bond, et parce que le lien avec les précédents opus est vraiment ténu (c’est une bonne idée, mais cela n’a clairement pas été planifié à l’avance, résultat : cela tombe un peu à l’eau). En plus, encore une fois, on fait tout un foin sur une actrice (ici, Monica Bellucci) alors que sa présence n’est qu’anecdotique… heureusement, Q est là pour sauver la mise !
Et voilà, cela en est fini de ce ciné club.
RDV d’ici quelques semaines pour la suite de mes aventures cinématiques !