Je vous présente aujourd’hui un livre dont on m’avait dit beaucoup de bien. Ecrit par une auteure que j’adore, Sophie Jomain, j’en attendais beaucoup, donc, de ce premier tome de Pamphlet contre un vampire (vendu 18,80 euros le broché éditions Rebelle de 360 pages).
Synopsis fait maison : Pendant les vacances d’été, Satine en a marre de voir sa meilleure amie être accro aux romans de vampire, elle ouvre donc un blog pour ridiculiser leur pseudo-sex-appeal. Si son pamphlet est bien rire certains de ses camarades de lycée, d’autres sont prêts à tout pour la faire taire… Au point qu’elle se demande s’ils se prennent vraiment pour les vampires…
L’addicte ne peut qu’aimer…
¤ son auteure, Sophie Jomain, pour sa plume (af)futée qui permet de dévorer ses livres en moins de deux.
¤ sa couverture simple et efficace, sombre, avec la super idée de mettre un vrai lien de blog !
¤ son scenario de base très ancré dans l’ère du temps.
¤ son histoire qui a quelques rebondissements surprenants (vers la fin, évidemment ! ).
¤ son héroïne qui n’est pas aussi cruche que Bella dans Twilight… mais n’est quand même pas très fufute.
¤ ses personnages secondaires et notamment Hugo et ses proches…
¤ le fait que j’ai été happée, dès la moitié du roman.
L’addicte fronce le nez sur…
¤ le fait que j’attendais tant de ce roman que j’ai été déçue pendant sa première moitié : c’était trop prévisible, même si l’idée de départ était originale.
¤ le fait qu’il y a quelques soucis dans les dialogues : le registre n’est pas toujours bien choisi et certains passages sont vraiment tirés par les cheveux*.
La note de l’addicte :
Et vous, vous avez découvert Sophie Jomain ? Vous attendez quoi pour dévorer la saga Felicity Atcock ?
Cliquez pour retrouver ce livre en vente : Pamphlet contre un vampire
Ce livre a été lu avec plaisir, mais aussi dans le cadre du Challenge ABC Spécial Imaginaire (pour la lettre J).
* : Certains dialogues semblent n’être là que pour situer l’action, ce qui donne des situations bizarres. Par exemple, dans une scène, au lieu d’expliquer en discours narratif que la mère de Satine est dispo pour faire du shopping avec sa fille, cela donne un truc comme (de tête) : “Je ne travaille pas le mercredi après-midi, ma chérie. Et si on allait faire du shopping ?”. La fille a presque 18 ans, sa mère n’est pas censé avoir changé de job récemment et elles ont toujours vécu ensemble : la fille devrait savoir, quand même, que sa mère est dispo d’habitude le mercredi après-midi, et la mère devrait savoir que sa fille est au courant. Donc l’emploi du “le” n’est pas bon, un “Je ne travaille pas cet après-midi” ou même “J’ai pris une RTT cet après-midi” seraient mieux passés.
Celui là ne m’inspire pas plus que ça… mais l’auteure m’intrigue !
Je discute beaucoup avec Sophie, qui est très sympa, et j’aime aussi son écriture 🙂 Bises
Voilà une auteure dont j’entends souvent parler… Il va falloir que j’achète un de ses livres pour découvrir ça quand même 😀
La quête de Satine contre les “vampires de romance” et l’ironie de cette histoire m’ont beaucoup plu : j’ai passé un excellent moment avec ce roman ! 🙂